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.:Daralika:. Chapitre 5.1 :FR:

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[Daralika] Chapitre 5.1: Griphass le prince déchu

Ce secret si lourd a porté était pour moi un poids qu’on ne pouvait oublier. Et pourtant il fallait que je vive avec dorénavant.
Je me trouvai maintenant dans la rue loin du collège en ne sachant que faire et cette rencontre avec cette homme qui semblait avoir le même âge que moi ou presque me laissa perplexe. J’étais perdue et tout tournait dans ma tête, je ne savais ni ou allez ni que faire, ni qui contacter. Ne réfléchissant pas, je couru dans la direction ou était partit ce jeune homme pour essayer de le rattraper mais en vain.
-Il a disparu, bien sûr.
Ce n’était pas ma vaine et pourtant il fallait que je fasse absolument quelques choses. Je vis un banc derrière moi, le banc de l’arrêt de bus, et s’asseoir n’était pas une mauvaise idée car la matinée fut rude. Très rude.
Je me frotta le visage entre les mains puis remit mes cheveux en arrière en prenant une bonne bouffé d’air. Les yeux fermer, je humai l’air ambiant et sentit de la pluie dans l’air, la grosse pluie bien grasse celle qui vous trempe en moins de temps qu’il faut pour le dire. Evidement après cette pensée qui me traversa l’esprit, une goute tomba sur mon nez froid, puis une goutte sur mon front puis une autres suivit d’un petit filet de goutte de pluie qui se transforma et un véritable torrent en quelques secondes.
En temps normal je me serai mise à courir pour m’abriter mais là je ne fis rien, je ne bougeai pas d’un poil. J’étais trop désespérée pour penser à ca en ce moment.

Gentiment je commençai à être plein d’eau et mes vêtements commençaient eux à s’alourdir et devenir spongieux. Je baissai ma tête et regarda le sol et ses flaques d’eau qui commençait à se former partout et je me remémorai mes souvenirs. Mes souvenirs d’avant tous ca, comment je vivais ma vie. Elle n’était pas glorieuse mais là je me sentais au bord du gouffre, voir au fond. Une larme coula sur ma joue se mélangeant aux gouttes de pluies qui ruisselait sur mes cheveux. Les pleures était ma seul façon de faire valoir la peur et l’angoisse qui se terrait en moi. Ma tristesse éclata enfin et je la laisser s’envoler et se perdre avec la pluie qui s’en alla dans les égouts. Tout semblait perdu quand je sentis une présence prêt de moi. Pas une présence ennemi mais amical, comme si je la connaissais depuis toujours. Je n’osais pas relever la tête ayant peur de voir ma mère et ne réagit pas. Je continuai donc a regardez le sol jusqu’au moment ou cette présence s’agenouilla devant moi et me regarda droit dans les yeux. Les mien furent comme attirer et en face de moi se tenait une personne avec une capuche qui recouvrait le haut de son visage. Les gouttes glissait le long de celle-ci et alla s’écraser sur sa main qu’il avait à présent posé sur les miennes.
Il me fut quelques minutes avant de réaliser. Je relevai ma tête et vit dans la pénombre que les nuages noir faisaient planer sur le quartier, le visage de ce charmant jeune homme que je vis tout a l’heure. Ses yeux et ses cheveux noir nuit et sa peau semi bronzé, oui c’était bien lui.
Je ne savais quoi faire et me sentait bête. Je ne savais quoi dire sur le moment.
-Que faite une charmante jeune fille comme toi sous la pluie toute trempée? Me demanda-t-il.
-Je… je ne savais quoi dire et réondit bêtement. J’aime la pluie et j’heum…
Il me mit un doigt devant la bouche comme tout a l’heure pour me dire de me taire.
-Ne dit plus rien Vanessa. Je sais que tu as besoin d’aide et moi aussi.
En effet j’en avais besoin. Mais comment le savais-t-il? Et en quoi lui aurait-il besoin d’aide?
Il est vrai qu’une fille assise à un arrêt de bus sous la pluie en pleine rue vide n’était pas banal.
-Je crains que tu puisses m’aider. Et… moi en retour je crains ne t’être d’aucune utilité également. Je ne sais rien faire!
-Nan. Tu mens, tu dis n’importe quoi. Tu n’es pas nul. Ca je l’ai vu.
-Comment ca tu l’as vue?
Il détourna son regard puis sourit.
-He ben je dois t’avoue que depuis que je t’avais vue en rue, je n’ai pas pu détourner mon regard de toi.
J’en fus choquée. Ce charmant jeune homme, lui, me trouvait belle. Un garçon me trouvait a son gout et pire… quelques s’intéressait a moi. J’en fus tout retournée et ne savait quoi réondre à nouveau. Il avait le don pour me mettre dans de telle situation.
-Je… je ne sais quoi dire que… enfin… a par que…
-Tu n’as rien à me dire en retour. Je le sens au fond de toi. Tu dégage ce sentiment de bonheur que je reconnais tant envers les humains.
Ce mot qu’il venait de prononce m’interpela.
-Humains? Comment ca?
-Oui enfin je veux dire heu…
Il se tue et me regarda. Il était embarrassé autant que moi. On était là sous la pluie à cet arrêt de bus à se regarder et à s’échanger des paroles qui n’avait aucun sens.
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